作詞 : Pierre Courteille
作曲 : Antoine de Maynard
REFRAIN
Pas la peine de courir
Le temps s’écoule quoi qu’il arrive,
Et j'entrevois tout comme une ombre de l’autre c?té de la rive,
est-ce bon signe ou les abimes qui approchent
C'est si rapide, Je crois que l'avenir est moche X2
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Je dois t'avouer qu'au fond je ne préfères pas savoir
je laisse l’inconnu me guider, je ne regarde plus le miroir
Les reflets ne me plaisent guère
Et mon instinct prédomine
Soudains mes pensées assassines arrivent
Je ne fais plus le fier
L’instant se cristallise
le temps se monétise
De bonnes actions arrivent
Alors que d'autres les diabolisent.
Garder les pieds sur terres n’était en fait pas chose acquise
Comment contenir sa haine quand on n’a retiré ta mise
Ce ne sont pas les trêves helas qui font gagner les guerres
Chaque jour un tas de futilités déferlent sur la terre.
Toutes ces hostilités menaces les gens qui me sont chers
Triste manque de fertilité je mens sans savoir quoi faire
On essaie de nous faire croire
Que tout est fait sans le vouloir
Tout ces méfait ca reste à voir
Ils veulent amasser le manoir
Nous amadouer de petit pourboire
Nous apeurer tel un chat noir
Le chef d’orchestre est forcément banquier je le nommerais Jafar
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REFRAIN
Pas la peine de courir
Le temps s’écoule quoi qu’il arrive,
Et j'entrevois tout comme une ombre de l’autre c?té de la rive,
est-ce bon signe ou les abimes qui approchent
C'est si rapide, Je crois que l'avenir est moche
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On nous manipule,
On est pas stupide
Mais je le stipule
Juste un peu cupide
La je titube
J'en ai mal au bide
Me désarticule
Puis me jette dans le vide
Le système à ses règles, et ses lois qui fabriquent la haine
le sang coule dans les ruelles
Et l'on raconte que la vie est belle
Flèche dans le foie
Balle dans le coeur
Couteau dans le dos
Respect disparait dans le ciel
J’admire, les vrais héros et les personnes qui me sont chères
Les gens respectables aimes les car on les perds
Nous jouons au sein de la même équipe,
Dans la ligue de l'univers
pas de place pour les tra?tres, les imbéciles et les adversaires
Allumes ton calumet,
Viens t’assoir te reposer
Ensemble on peut même composer
chez nous ca prend soin du frère
Nous grandirons puis vieillirons quoi qu'il arrive
L’échec, permet d’avancer, d'apprendre à vivre et se construire
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REFRAIN
Pas la peine de courir
Le temps s’écoule quoi qu’il arrive,
Et j'entrevois tout comme une ombre de l’autre c?té de la rive,
est-ce bon signe ou les abimes qui approchent
C'est si rapide, Je crois que l'avenir est moche